miércoles, 25 de marzo de 2009
sábado, 21 de marzo de 2009
Orden del trabajo
1. DONATELLA: Un hemisfer separado del otro. Francés/Inglés. /Video teórico Ignacio Soto. Isabel haciendo su maleta.
2. Secuencia de movimiento de Sergio. Improvisación sobre el tema Gelido in ongi vena de Cecilia Bartoli.
3. En una mesa, conversamos lo que vamos a hacer. Ordenamos.
4. Se lee los textos que no usaremos:
DONATELLA: Conocí a él en “Los Cocos”
Performance de Javiera Peón.
5. Video Sergio cantando. Donatella: La actriz toca su pierna
Disfraz de momia.
6. LA SINOPSIS DEL TSUNAMI
La protagonista se toma el escenario. Musica.
Instalación 1 de Isabel Torres. Inglés.
Secuencia movimiento 1 de Sergio. Texto y movimiento.
DONATELLA: Los brazos abiertos.
7. ANTES. dentro de una caja mueble con una linterna, micrófono entra por un agujero.
Performance de Javiera Peón.
DONATELLA. Cuando las emociones no pueden salir. Español/Francés.
8. OTRO DÍA.
DONATELLA: Quiero cortarme. Se corta la caja conmigo dentro.
9.MIENTRAS DICE PIENSA.
Secuencia Movimiento Singles Ladies con disfraz de momia. Primera parte
DONATELLA: Busco un médico y doy mis razones. Francés/Español.
Video 2 de Ignacio Soto.
10.Sólo video de Isabel con toalla sin traducción.
11. UN AHORA
DONATELLA: Toco un poco de tierra, es lo mas llegar.
Instalación de Isabel. Video en Alemán A. Gruman en off con traducción.
12. LA OPERACIÓN: La mujer estirada en una camilla viaja por los largos pasillos de un centro médico. Lo que dice lo dice ebria de anestesia o cantando sobre la camilla a modo de Madonna sobre la góndola en “Like a virgin”.
En paralelo Ignacio Soto. Intervención teórica.
DONATELLA: Comenzar a contemplar el cuerpo al lado del otro.
Musica ¿?. Texto leído.
13. SIN GRITAR. DESDOBLADA.
Video Like a virgin con texto en español.
Isabel en Inglés lee.
DONATELLA: Conectada voy a la ola. Inglés / Francés.
14. UN ESTRENO
DONATELLA: Un temblor me sube por las piernas.
Video 1 Eyal Meyer. Hebreo. Traducción al español en vivo.
15. DE FEBRERO
Sale disfraz de momia.
Video A bit of smile
DONATELLA:Fue así:
16. UN TERCER MIÉRCOLES
Video teórico A. Gruman.
Fotocopia al publico de este texto. Francés en paralelo.
DONATELLA: Quiero mirar con pasión a ti
17. POR LA MAÑANA
Instalación 3.
DONATELLA: Soy vegetarian
Video Isabel hablando por teléfono.
18. CARTA PARA EL HOMBRE
Secuencia de movimiento Sergio.
Pedir que alguien lea la carta en voz alta: Un verde oscuro profundo.
19. UN MARTES
Texto en frances.
Video en negro con subtítulos.
Its not an classic de Donna Regina.
DONATELLA: Creo en el ser social.
20. CUARTO MIÉRCOLES
Lento todos bailan sin musica de fondo.
Texto con micrófono. Sacar a personas del público.
Video de Bartoli con subtitulos en Inglés.
DONATELLA: Va por un vino.
21. EL TSUNAMI
DONATELLA: Esto es como un ecualizador
Texto en off de una voz extranjera.
Posible mixtura entre todos de las instalaciones de Isabel.
22. DONATELLA DESDE EL AVIÓN: Su cuerpo moreno, sus ojos son negros y sus labios gruesos así. Idioma / Francés.
Performance de Javiera Peón
Video desde el avión. Lectura de texto en frances Sergio.
23. ROCK, MI NIRVANA
DONATELLA: UN SOLO. Todos los idiomas. Video Andres Gruman / voz Eyal
Instalación Isabel.
24. DONATELLA CANTA: ¿Dime por que?
RECITAL. Video A. Gruman con subtítulos en video.
25. UN POSIBLE FUTURO
4 DE FEBRERO DE 2008.
DONATELLA:Volví.
Escena de dos mujeres tomando café.
Video de la calle. Foto con Polaroid. Lectura con micrófono de Sergio.
4. APÉNDICE
Se reparten bombones en la sala.
DONATELLA COME BOMBONES:
Los bombones son unos chocolates…
Video de A. Gruman final.
-------
traducción hebreo de Eyal Meyer
Donatella:
Raad ole li ben ha raglaim
Ani mevakesh et a café sheli im shamenet
Od pam catan meod ve ha paam hazé hu meujad
A taam shelo u shone
Ieshlo taam… shel etzev
Ieshlo taam… shel a ahava ha ieshana sheli
En baaia,ve jol ofen ani mejaiej me ha sherut shel ha meltzar
Ani ktzat sameaj aiom, joshkim bi ve ze tamid tov.
-------
ROCK, NIRVANA SHELI
ZIbub ejad, iajol liot she ha rega haze hu aji ha menuvan
DONATELLA:
SOLO EJAD
MILA EJAD
GUF EJAD
CLEY EJAD
DMUT EJAD
OR EJAD
ZRAK OR EJAD
NAAL EJAD
SIMLA EJAD
KISE EJAD
MICROFON EJAD
IOM EJAD ANI AJZOR
DAKA AJAT SHEL SHEKET
MILA EJAD LO IOTZÉ
SIMAN EJAD
GAMRUT EJAD
lunes, 9 de marzo de 2009
TRADUCCION DE JAVIERA PEON - VEIGA
Ceci n’est pas un classique
DONATELLA
Quand les émotionnes ne peuvent pas sortir
Quand ce que je sens n’explose pas
J’ai besoin de tuer
D’éliminer quelque chose
De pleurer
Toute seule dans un meuble, sans lumière
De courir
Cela, cachez-le derrière
Chaque petit détaille, petit de moi
Derrière chaque un suis-je
Tu le fais ?
C’est important pour toi ou tu
Est-elle la blessure grande ?
Trop de douleur d’être moi
Je suis une fruite mature que ne tombe jamais
Je suis des ordures
Quelque chose qu’on ne peut pas manger
Je suis un artiste moi-même
Les mots ne me suffisent pas pour dire ce que je sens
C’est un trou
C’est un lac artificiel qui vient de l’enfance de moi-même
Une île collée sur moi-même
Un isthme
Je suis en train de, regarder la mer comme cela me
Comme cela me provoque de l’érosion
Je ne réponds pas
Je ne suis pas responsable
Je ne dis rien
Je suis un silence, parmi tant de bruit
Je suis ce que tu ne peux pas dire à moi, ni à personne
Je demande une autre fois
S’excuser et remercier, cela ce que je fais
Dire « je suis en peu de ça et un peu de ce qui est là-bas »
Parce que je ne le sais pas
Parce que je n’apprends qu’à m’excuser
J’apprends seulement hier à dire « i’m so sorry »
Je suis l’excuse de ce que je suis en vrai
Ce que je suis c’est une autre œuvre que j’écris demain
Une œuvre qui est sans fin
ELLE PENSE PENDENT QU’ELLE DIT
Ceci ne correspond pas à ce que la femme dit au médecin à l’hôpital, c’est seulement un registre
DONATELLA
Je cherche un médecin et je donne mes raisons, elles y sont psychologiques, je suis obsessionnelle
Et répétée
Je cherche un médecin et je lui trouve hier
Ce n’est pas ici, je dois voyager et retourner maigre
Retourner chez mes amis comme une autre
Comme une différente
Comme une n’importe quelle
C’est bien pour moi
C’est bien pour tous
……………………………..
DONATELLA
Connectée je vais à la vague
Une vague qui n’explose pas
Une vague c’est de la fumée et se ¡puff ! avec tout le reste
C’est comme ça que j’arrive au bord de la mer
En dehors il en va par contre
En dehors mon corps va par contre
Ils sont doubles
Ils sont triples
Essayer
Essayer
Je me tourne
Je regarde le muscle en rebondissant
Les jambes d’homme
Plus j’étire mon jambe
Plus la douleur disparaisse
Lentement
Cette douleur va se disparaitre
Disparaissent mes genoux
Disparaisse sur moi
Chaque forme qu’on ajoute
Chaque forme me fais plus parfait
A la fin on se concentre sur la perfection
Chaque articulation
Dans chaque jambe plus haute
Dans chaque pied plus haut
Dans chaque cime tu t’arrêtes d’exister, mon homme
Je suis toute seule
Je suis vraiment toute seule
Je fais confiance à ça, je crois que rien ne peut mieux être que réussir à cela
Pourquoi est-ce que j’ai de la patience ?
Parce que chaque blessure laisse courir un peu de sang
Parce que dans chaque blessure il y a quelque chose qui se détendre
Quelque chose s’ouvre en moi
Je suis un corps ouvert et bien, ok pour être uni et compact
……………………………..
DONATELLA
Je veux regarder avec de la passion à toi
Avec les yeux un peu plus étirés, regarder de coté et voila !
Pas que ça, je veux rendre fou de passion à toi, que tu sois avec la bouche ouverte
Laisser sans souffle, sans tranquillité, nerveux, qu’il ne puisse pas manger
Cela c’est de l’ego
Cela c’est d’une conversation entre lui et moi
Je me sens de plus en plus une pute
Il me dit que je suis une moustique
Je suce et m’en vais
Juste comme ça
Est-ce que ça fait partie de cette conversation aussi ?
Oui voila
Celle-ci est une nuit avec des moustiques, avec des voiles, comme une turque
Je suis un peu confuse, je suis un peu jusqu’au là avec ses mystères, parles-moi comme de l’eau, parles-moi comme la pluie. Je veux sentir l’eau en train de courir sur moi, entière, en passant sur moi comme une vague de la mer, jettes-moi, laisses-moi dans le sol horizontal, je suis lâche en regardant la mer.
Je suis un peu stupide en pensant à ton raz de marée, remplis-moi de sel
Remplis-moi du miel
Tu n’es pas un insecte, tu n’es pas un bouton, tu n’es pas semblable aux objets, t’as de la chair lourde, des muscles petits, denses, un peu de toi ils utilisent au gril
Tu n’es pas un objet du désir
Au demi-point
Un chorizo plein de sang
Nettoies-toi la bouche avant de dire une chose d’autre
Nettoies-toi la bouche avant de me dire ce que je dois faire, une autre fois toi
Viens, viens vague, potes me rêves, mes illusionnes
Voyages à moi vers une autre terre
Oublier les garçons
Oublier le sexe
Oublier ce qui nous sommes
Cela c’est ce qu’il faut faire
Changeons
De nomme, de sexe, de coiffure
Changes ton maillot et viens me donner le nom que tu voudrais
Baptises-moi, je suis toute
Je me trouve en peu amère vue tant de l’eau que j’ai bu
DONATELLA EN TRAIN D’ECOUTER À DONA REGINA
Je crois à l’être social
La solitude que je cherche correspond à la folie
Un peu de moi
Ce n’est pas pour complet
Je ne me complète pas dans la solitude, je sais bien ça
L’orage passe lentement sur moi
Jours d’orage je vis dedans moi ici
Un billet aller return, un tonnerre, une sensation de nouvelles choses qui m’attendent
Je suis comme ça
Légèreté
Par intensité
Je ne peux pas m’endormir
Il ne m’attendra
Quelques minutes de plus et je saute sur toi
………………………………….
LA PREMIÈRE SORTIE
La femme dans un café, dans une table ou seulement en train de se souvenir de ce qui s’est passé. Bandée des pieds à la tête, genre une momie ou comme dans le filme « l’homme invisible » avec des bandes et des lunettes de soleil
DONATELLA
J’ai lui rencontré au « Los Cocos »
Le restaurant dans le coin
Chaque matin j’y vais prendre le meilleur café en ville
Je m’assois avec des lunettes foncées
Je prends une cigarette et je demande au garçon du feu
Il me regarde avec du désir, il me donne du feu
Tous les jours ce sont comme ça
Il me demande quand est ce qu’on prendra un verre
Je lui dis oui, c’est bon
Il me dit qu’en mercredi on est le 14 février
Saint valentin
Je crois qu’il le sait et que son intention c’est de le faire
Ça serait bien d’avoir un peu de sexe
DONATELLA DEPUIS L’AVION
Son corps est foncé, ses yeux sont noirs, ses cheveux sont obscurs et
Ses lèvres sont épaisses….comme ça
Je dois remplir
Deux points entre un pair de lèvres épaisses
Une ligne entre deux points
Une ligne pendue sur deux murs
Une ligne qui marque ce je veux
Entre dire et s’exprimer
Entre moi et mon autre moi
Une ligne est suspendue et ne me laisse pas respirer
Arrêtes d’être ma promesse !
Prends-moi au final de ta ligne
Paies un billet
Viens dans ce pays froid
Quel est le point ?
Oui, je suis une étrangère
Oui je regarde de lointain enfermé dans un cadre
Je pense ce que t’en penses
Je dis ce que tu veux dire
Tu es le corps qui j’attends
Tu es la morte
Ceci n’est pas un classique
DONATELLA
Quand les émotionnes ne peuvent pas sortir
Quand ce que je sens n’explose pas
J’ai besoin de tuer
D’éliminer quelque chose
De pleurer
Toute seule dans un meuble, sans lumière
De courir
Cela, cachez-le derrière
Chaque petit détaille, petit de moi
Derrière chaque un suis-je
Tu le fais ?
C’est important pour toi ou tu
Est-elle la blessure grande ?
Trop de douleur d’être moi
Je suis une fruite mature que ne tombe jamais
Je suis des ordures
Quelque chose qu’on ne peut pas manger
Je suis un artiste moi-même
Les mots ne me suffisent pas pour dire ce que je sens
C’est un trou
C’est un lac artificiel qui vient de l’enfance de moi-même
Une île collée sur moi-même
Un isthme
Je suis en train de, regarder la mer comme cela me
Comme cela me provoque de l’érosion
Je ne réponds pas
Je ne suis pas responsable
Je ne dis rien
Je suis un silence, parmi tant de bruit
Je suis ce que tu ne peux pas dire à moi, ni à personne
Je demande une autre fois
S’excuser et remercier, cela ce que je fais
Dire « je suis en peu de ça et un peu de ce qui est là-bas »
Parce que je ne le sais pas
Parce que je n’apprends qu’à m’excuser
J’apprends seulement hier à dire « i’m so sorry »
Je suis l’excuse de ce que je suis en vrai
Ce que je suis c’est une autre œuvre que j’écris demain
Une œuvre qui est sans fin
ELLE PENSE PENDENT QU’ELLE DIT
Ceci ne correspond pas à ce que la femme dit au médecin à l’hôpital, c’est seulement un registre
DONATELLA
Je cherche un médecin et je donne mes raisons, elles y sont psychologiques, je suis obsessionnelle
Et répétée
Je cherche un médecin et je lui trouve hier
Ce n’est pas ici, je dois voyager et retourner maigre
Retourner chez mes amis comme une autre
Comme une différente
Comme une n’importe quelle
C’est bien pour moi
C’est bien pour tous
……………………………..
DONATELLA
Connectée je vais à la vague
Une vague qui n’explose pas
Une vague c’est de la fumée et se ¡puff ! avec tout le reste
C’est comme ça que j’arrive au bord de la mer
En dehors il en va par contre
En dehors mon corps va par contre
Ils sont doubles
Ils sont triples
Essayer
Essayer
Je me tourne
Je regarde le muscle en rebondissant
Les jambes d’homme
Plus j’étire mon jambe
Plus la douleur disparaisse
Lentement
Cette douleur va se disparaitre
Disparaissent mes genoux
Disparaisse sur moi
Chaque forme qu’on ajoute
Chaque forme me fais plus parfait
A la fin on se concentre sur la perfection
Chaque articulation
Dans chaque jambe plus haute
Dans chaque pied plus haut
Dans chaque cime tu t’arrêtes d’exister, mon homme
Je suis toute seule
Je suis vraiment toute seule
Je fais confiance à ça, je crois que rien ne peut mieux être que réussir à cela
Pourquoi est-ce que j’ai de la patience ?
Parce que chaque blessure laisse courir un peu de sang
Parce que dans chaque blessure il y a quelque chose qui se détendre
Quelque chose s’ouvre en moi
Je suis un corps ouvert et bien, ok pour être uni et compact
……………………………..
DONATELLA
Je veux regarder avec de la passion à toi
Avec les yeux un peu plus étirés, regarder de coté et voila !
Pas que ça, je veux rendre fou de passion à toi, que tu sois avec la bouche ouverte
Laisser sans souffle, sans tranquillité, nerveux, qu’il ne puisse pas manger
Cela c’est de l’ego
Cela c’est d’une conversation entre lui et moi
Je me sens de plus en plus une pute
Il me dit que je suis une moustique
Je suce et m’en vais
Juste comme ça
Est-ce que ça fait partie de cette conversation aussi ?
Oui voila
Celle-ci est une nuit avec des moustiques, avec des voiles, comme une turque
Je suis un peu confuse, je suis un peu jusqu’au là avec ses mystères, parles-moi comme de l’eau, parles-moi comme la pluie. Je veux sentir l’eau en train de courir sur moi, entière, en passant sur moi comme une vague de la mer, jettes-moi, laisses-moi dans le sol horizontal, je suis lâche en regardant la mer.
Je suis un peu stupide en pensant à ton raz de marée, remplis-moi de sel
Remplis-moi du miel
Tu n’es pas un insecte, tu n’es pas un bouton, tu n’es pas semblable aux objets, t’as de la chair lourde, des muscles petits, denses, un peu de toi ils utilisent au gril
Tu n’es pas un objet du désir
Au demi-point
Un chorizo plein de sang
Nettoies-toi la bouche avant de dire une chose d’autre
Nettoies-toi la bouche avant de me dire ce que je dois faire, une autre fois toi
Viens, viens vague, potes me rêves, mes illusionnes
Voyages à moi vers une autre terre
Oublier les garçons
Oublier le sexe
Oublier ce qui nous sommes
Cela c’est ce qu’il faut faire
Changeons
De nomme, de sexe, de coiffure
Changes ton maillot et viens me donner le nom que tu voudrais
Baptises-moi, je suis toute
Je me trouve en peu amère vue tant de l’eau que j’ai bu
DONATELLA EN TRAIN D’ECOUTER À DONA REGINA
Je crois à l’être social
La solitude que je cherche correspond à la folie
Un peu de moi
Ce n’est pas pour complet
Je ne me complète pas dans la solitude, je sais bien ça
L’orage passe lentement sur moi
Jours d’orage je vis dedans moi ici
Un billet aller return, un tonnerre, une sensation de nouvelles choses qui m’attendent
Je suis comme ça
Légèreté
Par intensité
Je ne peux pas m’endormir
Il ne m’attendra
Quelques minutes de plus et je saute sur toi
………………………………….
LA PREMIÈRE SORTIE
La femme dans un café, dans une table ou seulement en train de se souvenir de ce qui s’est passé. Bandée des pieds à la tête, genre une momie ou comme dans le filme « l’homme invisible » avec des bandes et des lunettes de soleil
DONATELLA
J’ai lui rencontré au « Los Cocos »
Le restaurant dans le coin
Chaque matin j’y vais prendre le meilleur café en ville
Je m’assois avec des lunettes foncées
Je prends une cigarette et je demande au garçon du feu
Il me regarde avec du désir, il me donne du feu
Tous les jours ce sont comme ça
Il me demande quand est ce qu’on prendra un verre
Je lui dis oui, c’est bon
Il me dit qu’en mercredi on est le 14 février
Saint valentin
Je crois qu’il le sait et que son intention c’est de le faire
Ça serait bien d’avoir un peu de sexe
DONATELLA DEPUIS L’AVION
Son corps est foncé, ses yeux sont noirs, ses cheveux sont obscurs et
Ses lèvres sont épaisses….comme ça
Je dois remplir
Deux points entre un pair de lèvres épaisses
Une ligne entre deux points
Une ligne pendue sur deux murs
Une ligne qui marque ce je veux
Entre dire et s’exprimer
Entre moi et mon autre moi
Une ligne est suspendue et ne me laisse pas respirer
Arrêtes d’être ma promesse !
Prends-moi au final de ta ligne
Paies un billet
Viens dans ce pays froid
Quel est le point ?
Oui, je suis une étrangère
Oui je regarde de lointain enfermé dans un cadre
Je pense ce que t’en penses
Je dis ce que tu veux dire
Tu es le corps qui j’attends
Tu es la morte
Traducción de Isabel Torres.
LA SINOPSIS DEL TSUNAMI ( la protagonista se toma el escenario )
Instalacion 1. (pag 2)
DONATELLA :
Arms wide opened.
As far as my eyes can see.
Calmness.
Quietness.
Freedom.
( Avanza… es una marea de hombre)
( Es una Resaca de mujer)
A small wave of what it must be.
UN AHORA.
( La mujer llega a otro pais lejos del suyo. Son muy importantes las gafas negras se cree
una estrella de cine de las de Fellini. Entre un avion, un taxi y la casa )
Instalacion 2. ( pag 7-8)
DONATELLA:
I have landed. I have arrived.
How to explain ? ( espacio a duda)
I desire to cut my story.
Instantly , two parts of me.
I´ve just arrived, it´s hot. It´s too hot.
A pepsi ( drink) please.
Too hot, that´s important.
Loose some weight, would be ok.
I ´ve brought my friends pictures.
I ´m happy to land.
Who are you ?
I think he doesn´t get what I say.
Uhhm (suspira), I´m going to this address please.
Ok, it´s a low city, few buildings. Divine.
Hellow, Hi, my name is Claudine.
( PAUSA)
I have an issue, I have to spit it now.
STOP.
I pick up the phone at my new house.
I got few stuff.
I brought my favourite cd, that´s all I need !
The song says : ¨ This is not a classic¨
I´m not looking for men, I´m looking for me.
I am on a spiritual journey.
I call the clinic, everything´s in order.
I call a cab. I love to travel in taxis, look around the city , ( COMA EXTENSA)
Air conditioning.
Take a glance at fashion.
That´s how a get to this place in my dreams.
The doctor is pretty cute.
He says I hav to take out my pokka a dot dress.
It´s a white pokka a dot browne dress.
A friend´s gift for the trip.
I slowly take it out.
SIN GRITAR, DESDOBLADA.
(La mujer en la sala de operaciones. Es probable que se necesite un apoyo sonoro.
Lo ultimo que podria necesitarse es sonido del mar)
Traduccion ingles 3. (pag 10 – 11)
DONATELLA :
I surf the wave.
A wave that won´t explode.
( PAUSA)
Waves are like smoke, PUFF! With everything else.
That´s how it gets to the seaside.
Outside it changes.
Outside my body it changes.
There doubles.
There triples.
Try.
Try.
I turn around. Observe the bouncing of the muscle.
The legs of a man.
The more I try to strech my leg.
The pain starts to dessapeare.
Slowly.
The pain is going to make me dessapeare.
Dessapeare my knees.
Dessapeare myself.
Every shape that attaches, makes me perfect.
Finally I concentrate in perfection.
Every joint.
Each leg higher.
Each foot higher.
At every top of the hill you stop being you , (pausa) my man.
I´m alone.
I´m defiantly alone.
I truly believe in this. I think nothing can be better than achiving this.
Why do I have pacience ?
Because every wound, lets my blood flow.
Because something extends.
Something opns in me.
I am an open body and it´s ok …. To be compact.
POR LA MAÑANA.
( Quizas la protagonista come mas de la cuenta )
Instalacion 3. ( pag 18 – 19 )
DONATELLA:
I am a vegetarian. I know it doesn´t look like it honey.
Excuse me ?
Since when I ´m a vegetarian ?
Probably since I ´m a teenager.
I don´t eat anything at all.
I mean.
A bit of vegtebles, cereals, fake proteins.
Yes, but no meat, no cows, chickens or fish.
Well sometimes fish. When there´s ( pause) no other opcion.
But I don´t like to eat animals flesh and stay with that horrid sensation of violence.
I makes me suffer.
I preffer to avoid hearts.
I´m starting to sound like the mad women in the movie.
Which one ?
The green light of Rhomer.
My favourite movie, you know? Lifetime favourite.
Traveling alone, searching for men.
I don´t search for men like her.
Mmm? Who asked who out? The waiter or me?
He did. I need to reinvent myself with a latin lover.
Indeed.
Be a hore and a romantic at the same time. A Chilean friend tought me that, Duality.
Go with the flow, now.
JUEVES.
( Una extra mira a la mujer haciendo sus maletas)
Traduccion ingles 4 ( pag 24- 25)
DONATELLA :
One hemispher divided from the other one.
It´s my head who´s splitted.
It rarely connects.
I can measure the distance.
Probably I´m living a happy moment.
I feel so me.
I feel confort just the way I am.
Probably this is a situational situation.
Provided by this new scenary.
I feel close to new sceneries, this way everything makes sense.
I want to see him today.
I won´t see him today, yesterday was enough.
It´s important to go, settle and support.
It´s important to say what you do, what you did and what you will do.
It´s important to want to do more.
It´s important to enjoy.
It´s important to pay back.
He is important to me.
I keep parts of him.
I keep things of him.
It´s nice to see how he keeps my stuff to.
We´re similar.
We see each other and that´s enough.
Or maybe it´s not enough and we need to see each other again, again and again.
I have your voice recorded in my head.
I have your lips traced on my body.
I have others memories in my body.
Now I am a collage , ( coma extensa) where others find what there looking for.
I give myself, I am not a gift, I serve myself.
ROCK, MI NIRVANA.
( Un giro, es probable que este sea el momento mas decadente de la pieza)
Traduccion 4 ( pag 30 – 31- 32 )
DONATELLA :
ONE SOLO.
ONE WORD.
ONE BODY.
ONE INSTRUMENT.
ONE IMAGE.
ONE LIGHT.
ONE FOCUS.
ONE SHOE.
ONE SKIRT.
ONE CHAIR.
ONE MICROFONE.
ONE DAY I´LL COME BACK.
ONE MINUTE OF SILENCE.
ONE WORD DON’T COME OUT.
ONE START.
ONE ENDING.
DONNATELLA CANTA :
TELL ME WHY ?
TELL ME WHY YOUR LEAVING ?
TELL ME WHY THINGS END LIKE THIS ?
WILL I HAVE TO GO FAR AWAY FROM HOME ?
WILL I HAVE TO LEAVE LIKE A LIGHTNING IN A STORM ?
TELL ME WHY I HAVE TO GO CHASING YOU AROUND ?
TELL ME WHY IT´S LIKE THIS ?
TELL ME WHY I HAVE TO GO TO THE END OF THE WORLD I ALREADY KNOW ?
I WILL FEEL LONELY AWAY FROM HOME.
FROM THE HEAT OF MY PLANTS.
FROM THE PLACE YOU ALREADY KNOW.
WHAT WILL YOU SAY TO ME ?
TELL ME, WHAT WILL YOU SAY ?
TELL ME WHAT, (coma extensa) TO KNOW THE ANSWER.
TO LEARN IT IN THE STORM.
ALL I WANT IS TO BE THERE OR HERE WITH YOU.
TELL ME WHY ?
TELL ME WHY YOURE NOT HERE WITH ME ?
LA SINOPSIS DEL TSUNAMI ( la protagonista se toma el escenario )
Instalacion 1. (pag 2)
DONATELLA :
Arms wide opened.
As far as my eyes can see.
Calmness.
Quietness.
Freedom.
( Avanza… es una marea de hombre)
( Es una Resaca de mujer)
A small wave of what it must be.
UN AHORA.
( La mujer llega a otro pais lejos del suyo. Son muy importantes las gafas negras se cree
una estrella de cine de las de Fellini. Entre un avion, un taxi y la casa )
Instalacion 2. ( pag 7-8)
DONATELLA:
I have landed. I have arrived.
How to explain ? ( espacio a duda)
I desire to cut my story.
Instantly , two parts of me.
I´ve just arrived, it´s hot. It´s too hot.
A pepsi ( drink) please.
Too hot, that´s important.
Loose some weight, would be ok.
I ´ve brought my friends pictures.
I ´m happy to land.
Who are you ?
I think he doesn´t get what I say.
Uhhm (suspira), I´m going to this address please.
Ok, it´s a low city, few buildings. Divine.
Hellow, Hi, my name is Claudine.
( PAUSA)
I have an issue, I have to spit it now.
STOP.
I pick up the phone at my new house.
I got few stuff.
I brought my favourite cd, that´s all I need !
The song says : ¨ This is not a classic¨
I´m not looking for men, I´m looking for me.
I am on a spiritual journey.
I call the clinic, everything´s in order.
I call a cab. I love to travel in taxis, look around the city , ( COMA EXTENSA)
Air conditioning.
Take a glance at fashion.
That´s how a get to this place in my dreams.
The doctor is pretty cute.
He says I hav to take out my pokka a dot dress.
It´s a white pokka a dot browne dress.
A friend´s gift for the trip.
I slowly take it out.
SIN GRITAR, DESDOBLADA.
(La mujer en la sala de operaciones. Es probable que se necesite un apoyo sonoro.
Lo ultimo que podria necesitarse es sonido del mar)
Traduccion ingles 3. (pag 10 – 11)
DONATELLA :
I surf the wave.
A wave that won´t explode.
( PAUSA)
Waves are like smoke, PUFF! With everything else.
That´s how it gets to the seaside.
Outside it changes.
Outside my body it changes.
There doubles.
There triples.
Try.
Try.
I turn around. Observe the bouncing of the muscle.
The legs of a man.
The more I try to strech my leg.
The pain starts to dessapeare.
Slowly.
The pain is going to make me dessapeare.
Dessapeare my knees.
Dessapeare myself.
Every shape that attaches, makes me perfect.
Finally I concentrate in perfection.
Every joint.
Each leg higher.
Each foot higher.
At every top of the hill you stop being you , (pausa) my man.
I´m alone.
I´m defiantly alone.
I truly believe in this. I think nothing can be better than achiving this.
Why do I have pacience ?
Because every wound, lets my blood flow.
Because something extends.
Something opns in me.
I am an open body and it´s ok …. To be compact.
POR LA MAÑANA.
( Quizas la protagonista come mas de la cuenta )
Instalacion 3. ( pag 18 – 19 )
DONATELLA:
I am a vegetarian. I know it doesn´t look like it honey.
Excuse me ?
Since when I ´m a vegetarian ?
Probably since I ´m a teenager.
I don´t eat anything at all.
I mean.
A bit of vegtebles, cereals, fake proteins.
Yes, but no meat, no cows, chickens or fish.
Well sometimes fish. When there´s ( pause) no other opcion.
But I don´t like to eat animals flesh and stay with that horrid sensation of violence.
I makes me suffer.
I preffer to avoid hearts.
I´m starting to sound like the mad women in the movie.
Which one ?
The green light of Rhomer.
My favourite movie, you know? Lifetime favourite.
Traveling alone, searching for men.
I don´t search for men like her.
Mmm? Who asked who out? The waiter or me?
He did. I need to reinvent myself with a latin lover.
Indeed.
Be a hore and a romantic at the same time. A Chilean friend tought me that, Duality.
Go with the flow, now.
JUEVES.
( Una extra mira a la mujer haciendo sus maletas)
Traduccion ingles 4 ( pag 24- 25)
DONATELLA :
One hemispher divided from the other one.
It´s my head who´s splitted.
It rarely connects.
I can measure the distance.
Probably I´m living a happy moment.
I feel so me.
I feel confort just the way I am.
Probably this is a situational situation.
Provided by this new scenary.
I feel close to new sceneries, this way everything makes sense.
I want to see him today.
I won´t see him today, yesterday was enough.
It´s important to go, settle and support.
It´s important to say what you do, what you did and what you will do.
It´s important to want to do more.
It´s important to enjoy.
It´s important to pay back.
He is important to me.
I keep parts of him.
I keep things of him.
It´s nice to see how he keeps my stuff to.
We´re similar.
We see each other and that´s enough.
Or maybe it´s not enough and we need to see each other again, again and again.
I have your voice recorded in my head.
I have your lips traced on my body.
I have others memories in my body.
Now I am a collage , ( coma extensa) where others find what there looking for.
I give myself, I am not a gift, I serve myself.
ROCK, MI NIRVANA.
( Un giro, es probable que este sea el momento mas decadente de la pieza)
Traduccion 4 ( pag 30 – 31- 32 )
DONATELLA :
ONE SOLO.
ONE WORD.
ONE BODY.
ONE INSTRUMENT.
ONE IMAGE.
ONE LIGHT.
ONE FOCUS.
ONE SHOE.
ONE SKIRT.
ONE CHAIR.
ONE MICROFONE.
ONE DAY I´LL COME BACK.
ONE MINUTE OF SILENCE.
ONE WORD DON’T COME OUT.
ONE START.
ONE ENDING.
DONNATELLA CANTA :
TELL ME WHY ?
TELL ME WHY YOUR LEAVING ?
TELL ME WHY THINGS END LIKE THIS ?
WILL I HAVE TO GO FAR AWAY FROM HOME ?
WILL I HAVE TO LEAVE LIKE A LIGHTNING IN A STORM ?
TELL ME WHY I HAVE TO GO CHASING YOU AROUND ?
TELL ME WHY IT´S LIKE THIS ?
TELL ME WHY I HAVE TO GO TO THE END OF THE WORLD I ALREADY KNOW ?
I WILL FEEL LONELY AWAY FROM HOME.
FROM THE HEAT OF MY PLANTS.
FROM THE PLACE YOU ALREADY KNOW.
WHAT WILL YOU SAY TO ME ?
TELL ME, WHAT WILL YOU SAY ?
TELL ME WHAT, (coma extensa) TO KNOW THE ANSWER.
TO LEARN IT IN THE STORM.
ALL I WANT IS TO BE THERE OR HERE WITH YOU.
TELL ME WHY ?
TELL ME WHY YOURE NOT HERE WITH ME ?
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